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SAN JOSE
Capitale du Costa Rica
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Mardi 15 octobre 2013

Nous sommes. depuis hier à SAN JOSE, la capitale du Costa Rica.
Une capitale qui n'a rien d'intéressant ni de beau à présenter et ou on s'ennuie à mourir.
Après de longues recherches, nous finissons par trouver ce que personne ne connaît, ni les passants, ni les commerçants et même pas la Police. UN OFFICE DU TOURISME !
Personne ne connaît ce tout petit bureau noyé dans un grand edifice.
Le préposé nous remet un plan succinct du centre ville et une brochure sur les mesures de sécurité que nous devons observer au cours de notre séjour dans cette ville.
Si nous n'avons eu aucun souci en ce domaine, il est certain qu'il y a certainement des problèmes à ce sujet. Lorsque l'on voit comment les gens, particuliers, commerçants etc, se protègent Ce sont des grilles extrêmement hautes, des rouleaux de fils de fer barbelés...
Nous logeons dans une auberge de jeunesse à l'extérieur de la ville dans un quartier hyper sécurisé.
Nous sommes arrivés en fin de matinée en taxi et dans l'après midi nous décidons d'aller en bus rendre une courte visite au centre ville.
Le propriétaire de l'auberge nous le déconseille fermement. "Vous allez arriver à San Jose vers 17h, c'est tard et très dangereux à cette heure. Je vous conseille d'y aller demain matin..."
On obtempere, reportant la sortie pour demain. On se demande si nous ne sommes pas dans le Chicago des années 30.
Le lendemain, dans les rues piétonnes, beaucoup de gens déambulent, surveillés par la police, indifférents au vacarne.
Entre la musique que diffusent à fond les boutiques et les cris, les hurlements, plutôt, des marchands ambulants, c'est insupportable. On finit par abandonner.
D'autant plus que revoilà celle que nous détestons, la pluie.
N'oublions pas, un peu partout, des bouches dégoûts gueules ouvertes prêtes à absorber le premier piéton distrait, car depuis sans doutes longtemps, les grilles protectrices ont été volées et ça reste comme cela.
Nous ne croisons pas une seule personne ayant l'air d'un touriste. La mauvaise réputation de cette ville a fait son chemin par les guides, type Routard et autres blogs.
Nous serions partis illico vers d'autres cieux, mais voilà nous avons un important rendez vous ici, dans trois jours. Donc nous patientons en organisant des tâches diverses.
Demain se sera la grande lessive, en machine, car habituellement nous lavons à la main.
Demain également, séances de coiffeurs car nous en avons bien besoin, tous les deux. J'en profiterai pour acheter une paire de chaussures basses car les miennes rendent l'âme.
Nous sommes probablement dans la pire ville d'Amérique latine.


Cliquez sur les photos pour les agrandir !








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